Pingault Eric

posté le 09-12-2010 à 17:16:25

 


 
 
posté le 08-10-2010 à 12:00:02

dossier

JACOB VON GUNTENAdaptation de “L’Institut Benjamenta” de Robert WalserPROJET D’ACTEURPingault EricBeucher ThierryUn créateur lumièreRobert Walser écrit l’Institut Benjamenta en 1909, c’est son troisième roman, le titre original est Jakob von Gunten. Le roman se présente comme le récit de Jacob lui-même. Fils d’une « bonne » famille, il entre de son propre chef à l’institut pour devenir un serviteur modèle, se fondre dans le moule, devenir selon ses propres termes « un zéro bien rond (…) Moi, individu, je ne suis qu’un zéro. »Notre adaptation se concentre sur le huis clos de l’école, ses règles et son univers particulier, et l’itinéraire de Jacob dans ce monde, sa relation aux autres élèves (Kraus particulièrement), à la maîtresse (Lise Benjamenta, seule représentante du corps enseignant dans l’établissement) et au directeur qui donne son nom à l’institut : monsieur Benjamenta.Jacob nous interroge par son acceptation de toutes les règles, de tous les commandements, de toute autorité :1 : Un projet d’acteur.2 : Courte biographie.3 : Walser par Walser.4 : Un roman, une adaptation5 : Jacob von Gunten .6 : Question de représentation.7 : Pistes de travail : jeu/espace/lumière/son.8 : Agamben/Walser.9 : Propos de Walser à Carl Seelig.10 : Equipe / Contact11: Budget.1« Jacob von Gunten » est un projet qui me tient à cœur depuis longtemps. Depuis ma première lecture de « L’institut Benjamenta » de Robert Walser jusqu’à aujourd’hui neuf années se sont passées. Le temps pour moi de concevoir une adaptation du roman, d’en dégager des orientations dramaturgiques et d’imaginer quelle en serait la traduction scénique. Cela m’a amené également à penser aux modalités de sa réalisation pratique.Ce projet particulier ne s’inscrit pas dans un projet plus général comme le sont les projets de compagnies. C’est pourquoi j’affirme aussi cette notion de projet d’acteur qui correspond à la réalité d’une telle entreprise. Un projet d’acteur n’est pas sans ambitions dramaturgiques et esthétiques, simplement il n’est pas le jalon d’un parcours, il est sa propre finalité. Il ne serait donc ni juste ni pertinent de créer une compagnie pour ce seul projet.La création de compagnie est à mes yeux un acte suffisamment fort et réfléchi pour qu’on ne le galvaude pas. Je n’imagine pas faire un tel acte uniquement pour des raisons pratiques, structurelles et formelles.C’est pourquoi ce projet est énoncé, nommé, affirmé comme celui d’un acteur et que je le revendique comme tel. Il s’ensuit une relation particulière à réfléchir entre les différents acteurs du projet et les partenaires intéressés par cette proposition.Eric Pingault12Robert Walser est né en 1878. Il avait sept frères et sœurs. Vivant de petits métiers, à Berlin quelque temps, puis, résolument, en Suisse, il publie son premier roman, « Les enfants Tanner », en 1907. Son deuxième roman, « Le commis », paraît en 1908, et en 1909 « L’Institut Benjamenta ».Walser se cantonne ensuite dans des proses brèves publiées dans la presse, des poèmes, un court récit, « La promenade » (1917), ou le petit recueil « La rose » (1925). Un court roman autobiographique de la même époque (« Le brigand ») est posthume. En 1929, Walser entre dans une clinique qu’il ne quittera plus jusqu’en l956, où il meurt lors d’une promenade dans la neige.Génie longtemps méconnu, Walser, qui avait eu l’admiration de ses contemporains, de Benjamin, de Kafka, de Musil, de Hesse, est sorti à présent de l’oubli où il était tombé, grâce notamment à Carl Seelig. Ses romans et courts textes sont l’immédiate préfiguration de ceux de Kafka. Walser est l’un de ces « promeneurs » sans domicile fixe de la littérature de langue allemande, dans une tradition qui va de KleistKafka et met en scène une véritable poésie de l’échec.2Œuvre de Boltanski3WALSER PAR WALSERWalser est né le 15 avril 1878, à Bienne, dans le canton de Berne. Avant-dernier d’une famille de huit enfants, il fréquenta l’école jusqu’à l’âge de quatorze ans et se prépara à la profession d’employé de banque. A dix-sept ans, il quitta sa famille, s’installa à Bâle, où il fut employé chez von Speyr et C°, puis à Stuttgart, où il trouva une place dans une maison d’édition allemande, « l’Union ». Au bout d’un an, il partit pour Zurich, en passant par Tubingen, Hechingen, Schaffhouse, etc…Employé tantôt dans une banque, tantôt dans une compagnie d’assurances, il résida tant à Aussershil que sur les hauteurs de Zurich, et se mit à écrire des poèmes. Notons que ce n’était pas là une activité accessoire, mais que, pour pouvoir s’y consacrer, il quittait chaque fois son emploi, étant évidemment convaincu que l’art est quelque chose de grand. De fait, écrire des poèmes était pour lui un acte presque sacré. D’aucun, peut-être, trouveront cela excessif. Quand il avait mangé ses économies, il cherchait une nouvelle place à sa convenance, c’est ainsi qu’il fut conduit à Thoune et à Soleure, où il se trouva extraordinairement bien (…) Peu après, nous le retrouvons à Zurich (…) Pour subsister, il faisait des écritures au Bureau d’aide aux chômeurs, ou bien il servait de bonne à tout faire dans une villa du lac de Zurich. De telles occupations ne lui ont sûrement pas nui, elles lui ont fait connaître un peu le monde et les hommes, ainsi que lui-même, par exemple, ce qui ne pouvait le laisser indifférent. A cette époque, il se rendit en Allemagne, avec fort peu d’argent en poche, et certains prétendent qu’il se serait placé chez un comte comme domestique (…)Il écrivit trois roman : ainsi que de nombreuses études, esquisses et histoires de longueur variable, et de la sorte, il resta à peu près sept ans à Berlin. Après quoi il rentra chez lui et s’installa à Bienne, pour parachever autant que possible l’œuvre commencée et, si l’on peut dire, l’arrondir aussi généreusement que possible. »4Walser n’a pas écrit pour la scène, il m’a donc fallu en premier lieu proposer une adaptation du roman de Walser. Cette adaptation ne procède pas de simples coupes du texte initial. Deux principes directeurs ont orienté mes choix : l’un concernant les personnages, l’autre la chronologie narrative.a pour titre original ,j’ai fait le choix d’axer le travail sur la figure de Jacob. D’abord pour permettre la prise de parole par un seul acteur, mais surtout pour rendre l’isolement de Jacob dans cet institut, comment il se retrouve seul face aux règlements de l’établissement, seul face aux autres élèves, et comment il cherche paradoxalement le soutien de ceux qui représentent l’autorité suprême, à savoir le directeur et sa sœur. J’ai également privilégié le rapport de Jacob à Kraus, élève modèle de l’institut, figure emblématique du serviteur chez qui la discipline interdit toute particularité, tout caractère, toute volonté propre. Par Kraus la personnalité de Jakob nous apparaît plus clairement encore. Cette adaptation présente donc principalement les personnages de Jacob, Kraus, monsieur Benjamenta et sa sœur, la maîtresse Lise Benjamenta.Concernant la chronologie, je me suis attaché à regrouperpour commencer tout ce qui a à voir avec les règlements, le comportement exigé des élèves au sein de l’école dirigée par monsieur Benjamenta. Il me semblait important de « planter le décor » en quelque sorte, que l’on sache d’emblé où l’on est, de quelle sorte d’institut il est question. Situer l’action dans un espace particulier, puis rendre au mieux l’évolution des rapports entre Jacob et le directeur d’une part, de Jacob et de Lise Benjamenta d’autre part.5QUESTION DE REPRESENTATIONLe lieu de la représentation est généralement le plateau où les acteurs s’offrent aux regards des spectateurs. Les personnages de Walser nous amènent à réfléchir autrement ce rapport. Autant il y a une évidence à ce que Richard III s’érige devant nous, autant Jacob semble être absolument un parmi d’autre, «quelconque ». Il aspire avec une telle intensité à la normalité, à se fondre dans le moule que lui propose l’institut, à n’être plus qu’un zéro bien rond, ce qui semble l’objectif de son existence ; qu’il nous apparaît problématique de le représenter seul devant tous. Ce n’est pas seulement la question de la frontalité qu’il nous faut réfléchir mais la nature même de l’adresse, la posture de l’acteur, sa relation aux spectateurs. Cela n’implique pas de fuir à tout prix la scène, de n’être qu’une voix dont le corps ne se distingue pas des spectateurs, mais pour le moins de ne pas considérer et rendre cette présence comme évidente, allant de soi. Il n’y a aucune évidence à ce que les personnages de Walser se mettent à parler, on peut douter qu’ils sachent eux-mêmes ce qu’ils vont dire la seconde d’après, c’est pourquoi il est nécessaire que notre travail fasse entendre cette intranquillité qui anime les personnages et résonne chez les spectateurs. Nous invitons le spectateur à suivre le mouvement même de la pensée de Jacob qui se découvre, pour lui aussi, au moment même où elle s’énonce par la parole.66PISTES DE TRAVAIL : Jeu / Espace / Lumière / Son.Jeu : Quelle voix ? Quelle adresse ? D’où ça parle ?La Parole d’après…tout est déjà fini, d’une certaine manière fini quand ça commence. Il n’est plus le Jacob de l’histoire qu’il raconte, il (re-)devient ce qu’il dit, sa parole le constitue. Ce qui existe, qui est présent, son exposition présente : sa parole et son visage. Nécessité de « l’être-là » de l’acteur, son absolue présence. Acteur non comme média, intermédiaire, passeur entre une histoire préexistante et un public présent, mais acteur comme ignorant de ce qui va advenir. Poursuivre, atteindre le présent absolu de cette Parole (Kleist « De l’élaboration progressive des idées par la parole »). Peter van Matt. Espace : L’idée directrice du principe scénographique est de proposer un espace qui soit tout entier l’Institut Benjamenta, de faire entrer le spectateur dans cette école « maison des morts ou palais de célestes délices »Le plateau et le gradin sont dans un même espace imaginaire. Pour lier ces deux espaces j’imagine la présence physique de ces maîtres qui  « dorment, à moins qu’ils ne soient morts ou en léthargie », je les imagine assis, debout, couchés parmi les spectateurs aussi bien qu’en suspension au dessus d’eux. Leur présence trouble, entre vie et mort, entre plateau et gradin, installe d’emblé le spectateur dans l’espace imaginaire qui lui est proposé. J’imagine fabriquer des pantins inspirés des momies de Palerme pour représenter ces maîtres.Lumière : Trois axes orientent principalement le travail de la lumière : unifier le lieu, présence/absence des maîtres, jeux d’ombres.Pour créer cette sensation d’un lieu véritablement unifié le travail de la lumière est essentiel. Elle « baigne » tout l’espace de la salle dans une atmosphère qui ne distingue pas nettement l’acteur des spectateurs. Cela ne signifie pas qu’elle soit donnée une fois pour toute sans possibilité d’évolution ou de changements mais ceux-ci n’auront pas lieu sur le seul espace scénique mais partout.Les maîtres disposés un peu partout sont à la fois très présents (on ne peut pas ne pas les voir) et absent dans le sens où ils ne se donnent pas tous à voir de la même façon. Le spectateur est, dès qu’il entre dans l’espace, saisi par leur présence ; cependant il m’intéresse qu’il puisse en découvrir certains en cours de représentation. Pour arriver à ce qu’il en soit ainsi leur disposition et la manière de les éclairer sont primordiales.Enfin il y a un travail spécifique de jeux d’ombres qui tend à rendre l’aspect fantastique, féerique et onirique de L’Institut Benjamenta.Son : Une musique lointaine, à peine perceptible, audible. Venue de loin, tout à l’intérieur (Gurdjieff / De Hartman).Venant du fond du plateau, de l’obscurité, des « appartements privés » du maître et de sa sœur, cette musique (déjà présente quand les spectateurs entrent) nous amène au mystère qui sourd de cette école, ce mystère que Jacob perçoit sans pouvoir l’expliquer. Cette musique ne cessera d’apparaître puis de disparaître, comme quelque chose qui ne cesse de nous échapper, qui nous coule entre les doigts sans que jamais on puisse la retenir. 97AGAMBEN / WALSER« Ses créatures se sont irrémédiablement égarées, mais dans une région au-delà de toute perdition ou salut : leur nullité, dont elles sont si fières, est avant tout neutralité à l’égard du salut, objection la plus radicale qui ait jamais été élevée contre l’idée même de rédemption. Proprement impossible à sauver la vie où rien n’est à sauver, et contre elle fait naufrage la puissante machine théologique de l’chrétienne. D’où le curieux mélange de friponnerie et d’humilité, d’inconscience de et de minutie scrupuleuse qui caractérise les personnages de Walser (…) »Des Limbes dans «  La communauté qui vient«  Il est étonnant que les deux écrivains de notre siècle qui ont observé avec le plus de lucidité l’horreur incomparable qui les entourait – Kafka et Walser – nous présentent un monde d’où le mal dans sa manifestation traditionnelle suprême – le démoniaque- a disparu (…) Si quelque chose comme un élément démonique survit dans le monde de ces deux auteurs, c’est plutôt sous la forme à laquelle pouvait songer Spinoza, lorsqu’il écrivait que le démon n’est que, de toutes les créatures, la plus faible et la plus éloignée de Dieu et que, en tant que telle – autrement dit, dans la mesure où elle est essentiellement impuissante -, non seulement elle ne peut faire aucun mal, mais au contraire, est celle qui a le plus besoin de notre aide et de nos prières. Le démon constitue, en chaque être, la possibilité de ne pas être qui, silencieusement, implore notre secours.»11AGAMBEN / WALSER« …rien n’est plus étranger à Walser que la prétention d’être autre que ce que l’on est.»« Aussi demeurent-ils, irrémédiablement perdus, dans l’abandon divin : ce n’est pas Dieu qui les a oubliés, ce sont eux qui l’ont toujours déjà oublié, et contre leur oubli l’oubli divin est impuissant. Comme des lettres sans destinataire, ces ressuscités sont restés sans destin. Ni bienheureux comme les élus, ni désespérés comme les damnés, ils sont chargés d’une espérance à jamais sans issue. »« Bien avant que nous nous étonnions du monde à l’extérieur de nous, ce qui nous émerveille et ce qui nous frappe est la présence en nous de cette partie immature, infiniment adolescente et qui hésite sur le seuil de chaque individuation. »« Les assistants de Walser (…) sont occupés de manière irréparable et superbe à une œuvre absolument superflue, pour ne pas dire inqualifiable. S’ils étudient – et on a l’impression qu’ils étudient à fond -, c’est pour devenir des zéro pointés. »128PROPOS DE WALSER A CARL SEELIG.est composé à partir d’observations effectuées du temps où j’étais élève dans un établissement qui présentait pas mal d’analogies avec l’Institut évoqué dans ce roman. »« Le peuple aime que l’on fasse quelque chose pour son bien, il aime être traité tantôt avec une paternelle bienveillance, tantôt avec la plus extrême sévérité. C’est d’ailleurs ainsi que l’on parvient à obtenir de lui qu’il adhère même à la guerre. »« J’ai donc vécu ma propre vie à la périphérie des existences bourgeoises. N’était-ce pas bien ainsi ? Et si mon monde est plus pauvre, moins établi que le leur, n’a-t-il pas néanmoins, lui aussi, le droit d’exister ? »« Les traits de caractères intéressants découlent des travers de l’homme. Les défauts sont là pour créer des contrastes et mettre de la vie dans le monde. »13« Voyez-vous, chaque fois que j’arrivais dans une autre ville, j’oubliais mon passé et me réglais complètement sur le milieu nouveau dans lequel je me trouvais immergé. »«  Je suis moi-même un simple soldat et je tiens à le rester. Pas plus que vous je n’ai envie de devenir officier. Je veux vivre avec le peuple et disparaître en son sein. C’est ce qui me convient le mieux. »« Aller son propre chemin, discrètement et en toute modestie, cela reste le plus sûr bonheur, le seul qui soit à notre portée. »« Durant ma dernière année à Berne, j’étais tourmenté par des rêves affreux : fracas de tonnerre, cris, mains étrangleuses cramponnées à ma gorge, éclats de voix hallucinatoires, si bien que je me réveillais fréquemment hurlant de terreur. »« Pour finir, ma sœur Lisa m’a emmené à l’hospice Waldau. Devant le portail de cet établissement, je lui ai encore demandé : « Tu crois que c’est la solution ? ». En guise de réponse, elle observa le silence. Que pouvais-je faire d’autre qu’entrer ? »149Equipe / Contact.Pingault Eric (jeu / mise en scène / adaptation / dramaturgie / scénographie) :Comédien formé au théâtre-école du Passage dirigé par Niels Arestrup, puis à l’école du TNB de Rennes où il travaille notamment avec Matthias Langhoff,Claude Régy,Jean-François Sivadier, Gildas Milin ou encore Jean-Louis Hourdin.Il joue depuis dans des mises en scène de Bernard Sobel, Aurélia Guillet, Madeleine Louarn, Rozenn Fournier, Sylvain Delabrosse.Il écrit des textes dont et dont il a proposé une mise en scène.Beucher Thierry (mise en scène / dramaturgie / scénographie) :Après une formation au conservatoire de Rennes (1985-1988), ilparticipe à une vingtaine de spectacles en tant que comédien. Co-fondateur de la compagnie il met en scène plusieurs de ses textes dont « Saturnin Landelle », « Marie-Ange Desforêt », « Chien crevé sous la lune ».Il est aussi l’auteur de « Marie ou la vie d’une piqueuse » (compagnie Digor dor-1995), « La cendre du ciel » (KF association-2008).Actuellement, il est associé à la compagnie de danse contemporaine Dana, dirigée par Anamaria Fernandes.eric_ pingault@hotmail.com / 06 76 62 88 7310
Budget prévisionnelCoûtApport
 


 
 
posté le 06-10-2010 à 19:43:08

cv

ERIC PINGAULTCOMEDIENeric_pingault@hotmail.comhttp://pingaulteric2.vefblog.net06 76 62 88 73Né le 10 avril 1973EXPERIENCES PROFESSIONNELLES

THEATRE :2010 «Le peuple d'Icare » de et mis en scène par Dan Artus 2008 « Dans la cendre du ciel » de Beucher, mise en scène de Rozenn Fournier« L'histoire du soldat » de Ramuz, mise en scène de Julie Béres/Joel Doussart2007 « Le langue à langue des chiens de roche » de Danis, mise en scène de Sylvain Delabrosse« La maison brûlée » de Strindberg, mise en scène de Aurélia Guillet2006 « Penthésilée/Paysage » de Kleist/Muller, mise en scène de Aurélia Guillet2005 « Les petites tragédies » de Pouchkine, mise en scène de Madeleine Louarn2003 « La geste du maquis de la Lance » mise en scène de Serge Pauthe« Les parisiens » de Rambert, mise en scène de Pascal Roignaut2002 « La cerisaie » de Tchekhov, mise en scène de Jean Beaucé1997 « Le Misanthrope » de Molière, mise en scène de Sandrine Lemétayer« Le Voile » de Alloula, mise en scène de Célie Pauthe1996 « Napoléon ou les cent jours » de Grabbe, mise en scène de Bernard SobelRADIO :2005 « Radio Merlin » de Roubault, dirigé par Cédric Gourmelon (France Culture)2000 « Les paravents » de Genet, dirigé par Bernard Bloch (France Culture)CINEMA :2003 « Chemin de traverse » de Manuel Poirier

 


cv
 
 
posté le 06-10-2010 à 10:59:02

portraits

 


 
 
posté le 06-10-2010 à 10:50:51

portraits

 


 
 
Chargement des articles suivants..